La rencontre bien sombre... [PV Luxa]

Je me dirigea vers la ville de oneiro à pas lent et mesuré. Mes chaussures à semelles de cuir crissaient sur la terre fraîchement retourné du petit sentier rural qui menait à la grande ville si renommé et si populaire parmis les trois visage. J'y était allé déjà une fois et j'avais rencontré un fou, amusant mais complètement taré qui s'appelait sora et une fille assez agaçante mais sympathique dans le fond appelé tsuki sakura. Mon gros sac remplit de babiole me cisaillait durement les épaules. Je croise mes mains derrière la tête, me mes yeux écarlates clos, la tête en arrière. Mes petites oreilles de chat et ma queue s'agitant et me servant de balancier. Je baille et remonte mes lunettes d'aviateur sur le dessus de mon crâne et empoigne la carte menant à à la ville, mmm bon je vais prendre un raccourci, pas envie de faire le grand détour pour arriver à la porte principale et l'allée marchande. Je m'approche d'un grand mut et soupire. Je dirige la paume de mes mains vers le bas et mon corps s'élève, j'arrivais à faire ça en réduisant ma propre gravité me rendant plus léger qu'une plume, un peu comme dans l'espace en fait. Ma capuche rabattu sur mon visage en cachant une partie je me propulsé au dessus du mur et atterrit en douceur de l'autre côté. Je m'étire, et commence avancer. Je suis dans une sorte de grande ruelle, sombre et sale. La crasse avait envahie la rue, des poubelles étaient éventré à terre et le sol était couvert de détritus. Les murs des immeubles étaient très haut, et tout était craquelé, vieux, crade. J'avance un peu observant les alentours méfiant, ma queue et mes oreilles s'agitant. Je n'avais pas forcément envie de rester et explorer cet endroit, moi même m'étant retrouvé pendant une période dans ces endroits malsains, cela me rappelais de mauvais souvenir. J'avance silencieux et prudent.

Je vis une jeune femme dans la rue, elle s'arrêta, me fixa, me détaillant. Puis avec un haussement d'épaule, un air arrogant et supérieur elle passa son chemin ne manquant pas de m'envoyer sa cape dans la tête. Je peste en lui lançant un regard hargneux. Pour qui elle se prenait celle là ? La reine du monde peut être ? Il était vrai que son aura imposait le respect et que son visage fin et pâle se mariait parfaitement avec ses cheveux de neige d'une grande beauté mais c'était pas une raison pour snober les plus pauvre. Je pousse un long soupire en lui jetant un dernier regard et remarque son tatouage sur son épaule... la guilde wing's freedom ! Tout s'expliquait, ils se croyait tout permis ceux là. Je ne dit rien et me détourne et commence à avancer. Je sens que quelque chose cloche, c'était trop bizarre, trop calme ici. Je relève la tête et me retourne vers la fille qui s'apprêtait à tourner à un coin de rue mais mes oreilles s'agitent et je repère un sifflement lointain, comme quelque chose qui tombe. Je saute en voyant deux hommes s'apprêtant à atterrir sur la fille, qui apparemment ne les avait pas vu. Je dirige mes mains vers le bas et me projete aune vitesse vertigineuse sur les deux hommes le et les fauche par la taille, avant de créer un cercle magique autour moi et autour d'eux, et dirige rapidement mes bras vers le bas les écrasant a terre. Je sert les poings écrasant la pression dans leur corps et réduisant leur oxygène leur empêchent de respirer. Ils se tortille un instant comme écrasé par un poids énorme avant de retomber inerte, inconscient, blessé ou peut être mort. Je ré atterrit souplement au sol, en position accroupis, ma capuche enlevée, mes oreilles de chat qui s'agitaient aussi. Et je me retourne vers la fille en m'ettirant prestement. Je m'approche d'elle et lui tend un morceau de tissu qu'elle avait fait tombé plus tôt et que j'avais ramasser. Je dit d'une voix neutre en plongeant mes yeux dans les siens

-vous avez fait tomber ça.

Je cille, il était vrai qu'elle dégageait une aura étrange, mais bizarrement je n'avais pas peur, du tout, je me sentait même mmm pas rassuré plutôt apaisé. Pourtant ses yeux vides n'irait pas jusqu'à inspirer de la confiance. Je lui fis un grand sourire laissant légèrement dépasser mes crocs plus pointus que la normal, à première vu innocent, mais il racontait bien ce que j'avais vécu, la mort, la fin, le vide, la famine, la tristesse, le désespoir, l'abandon, le froid, la solitude ... Tout ces sentiments pouvaient être des reflets de mon âme, ce que j'étais à à l'intérieur et pas en apparence. Je lâche le mouchoir au creux de sa main et recule, m'apprêtant à partir sans même penser à recevoir de remerciement de cette jeune femme qui le prenait de haut.